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Comme beaucoup de français, vous avez peut-être envie de changement. Vous aimeriez donner du sens à la prochaine étape de votre parcours mais passer le cap de la mobilité professionnelle n’est pas aisé : changer de métier, de secteur d’activité ou passer du statut de salarié à celui d’entrepreneur ne s’improvise pas

« Avoir la foi, c’est monter la première marche même quand on ne voit pas tout l’escalier » disait Martin Luther King. Vous êtes en quête d’un mieux-être et d’épanouissement professionnel ? Si vous êtes prêt, voici six clés pour enclencher votre transition professionnelle et la réussir. 

Transition professionnelle

1. Le compte personnel de formation (CPF)

Qu’est-ce que c’est ?

Le compte personnel de formation (CPF), décrit comme la « clé de voûte » de la réforme de la formation professionnelle 2014, est un dispositif de financement public de formation continue en France. Créé par le ministère du Travail, sa gestion est confiée à la Caisse des dépôts et consignations. Successeur du droit individuel à la formation (DIF) qui disparaît donc à son profit, les maîtres mots du CPF sont évolution et sécurisation du parcours professionnel. 

A qui s’adresse-t-il ?

Le CPF s’adresse à toute personne en activité, âgée de plus de 16 ans. 

Étant rattaché à un individu et non à un contrat de travail, il vous suit tout au long de votre vie professionnelle, même si vous changez d’entreprise, de statut ou d’activité.

Il est ouvert :

  • Aux salariés du secteur privé et du secteur agricole, dès 16 ans (15 ans par dérogation dans le cas de la signature d’un contrat d’apprentissage),
  • Aux personnes à la recherche d’un emploi (demandeurs d’emploi inscrits ou non à Pôle emploi) ou en Contrat de sécurisation professionnelle.
  • Depuis le 1er/01/2018, le CPF est également ouvert aux travailleurs indépendants (artisans, commerçants, micro-entrepreneurs…), aux professions libérales ou professions non salariées, et à leurs conjoints collaborateurs. 

Quelle est sa méthode de calcul ?

Depuis le 1er janvier 2019, dans le cadre de la réforme du droit du travail, le CPF n’est plus crédité en heures mais directement en euros

Pour un salarié à temps plein, ou à temps partiel, le compte est alimenté automatiquement en avril, au titre de l’année précédente, à hauteur de 500€ par année d’activité pleine. Le plafond est fixé à 5.000€. Au-delà de cette somme, votre contribution ne génère pas de droits supplémentaires.

Le compte n’est fermé que lors du départ à la retraite.

A noter : les congés de maternité (hors adoption), congés de paternité, congés payés sont des absences qui permettent néanmoins d’acquérir des heures de formation. En revanche, les périodes de chômage ne le permettent pas.

A quoi ça sert ?

Comme son nom l’indique, le CPF est personnel : le salarié conserve son solde d’heures même en cas de changement d’une entreprise à l’autre ou bien en cas de perte d’emploi (même s’il s’agit d’un licenciement pour faute grave). D’ailleurs, toute personne titulaire d’un CPF peut en faire usage, qu’elle soit en activité salariée ou en recherche d’emploi

Utiliser son CPF peut servir à :

  • Préparer l’obtention d’un diplôme ou d’une certification (cf. VAE) ;
  • Réaliser un bilan de compétences ;
  • En acquérir de nouvelles dans une évolution de carrière ;
  • S’adapter aux évolutions de votre métier ;
  • Découvrir de nouveaux champs d’activité professionnelle ;
  • Créer son entreprise

Si vous êtes salarié.e, sachez que l’accord de votre employeur est requis pour une formation réalisée en tout ou partie sur votre temps de travail. Si elle est acceptée, vous continuerez de percevoir votre rémunération habituelle, tout en restant couvert contre les accidents du travail et les maladies professionnelles. 

A noter : seules les formations qualifiantes ou certifiantes répondant aux besoins du marché de l’emploi peuvent être financées dans le cadre du CPF.  

Comment choisir une formation ?

La dématérialisation des données permet à chaque actif d’accéder à son espace personnel pour :

  1. Consulter votre solde d’heures CPF 

Rendez-vous sur le site MonCompteFormation et prenez connaissance du montant de l’enveloppe dont vous pouvez bénéficier.

  • Choisir votre formation en ligne

Sur votre compte en ligne, recherchez une formation éligible au CPF et mobilisez vos crédits sans avoir à avancer d’argent. C’est simple, rapide et pratique. 

Vos droits CPF semblent insuffisants ? 

Soit votre dossier peut être abondé par l’État, les régions, Pôle emploi, un accord de branche ou d’entreprise, un OPCA, l’Agefiph pour les personnes en situation de handicap. Soit vous pouvez faire votre propre « abondement » : cela signifie que vous compléterez le montant dû par un apport personnel. 

Qu’est-ce que le projet de transition professionnelle ? 

Depuis le 1er janvier 2019, le projet de transition professionnelle se substitue à l’ancien dispositif du congé individuel de formation (CIF). 

C’est une modalité particulière de mobilisation du compte personnel de formation qui permet aux salariés souhaitant changer de métier ou de profession de financer des formations certifiantes en lien avec leur projet. Dans ce cadre, le salarié peut bénéficier d’un droit à congé et d’un maintien de sa rémunération pendant la durée de l’action de formation.

Pour en bénéficier, vous devez justifier d’une ancienneté d’au moins 24 mois à la date de départ en formation, consécutifs ou non, en qualité de salarié, dont 12 mois dans l’entreprise, quelle qu’ait été la nature de vos contrats de travail successifs.

Pendant votre congé, lorsque votre formation est réalisée sur votre temps de travail, vous pouvez bénéficier d’une rémunération, dès lors que vous avez obtenu l’accord de la commission paritaire interprofessionnelle régionale (CPIR). Cette rémunération est conditionnée à votre assiduité à la formation demandée pour obtenir la certification visée. Il en va de même à l’égard de vos droits aux congés payés, primes, 13e mois, vacances, etc. 

À l’issue de votre formation, vous réintégrez votre poste de travail ou un poste équivalent. Attention, votre employeur n’est pas tenu de vous proposer un autre emploi prenant en compte la qualification acquise pendant votre formation.

2. Le bilan de compétences

Vous avez envie de faire le point sur votre vie professionnelle ? Vous vous interrogez concernant vos compétences au travail ? Et si, pour bien enclencher votre transition, vous réalisiez un bilan de compétences ? 

C’est une bonne solution à étudier pour donner un nouveau souffle à votre carrière !

Qu’est-ce que c’est ?

Dans le Code du travail, le bilan de compétences a pour objectif de « permettre à des salariés d’analyser leurs compétences professionnelles et personnelles ainsi que leurs aptitudes et leurs motivations afin de définir un projet professionnel et, le cas échéant, un projet de formation ». 

Tous les salariés et demandeurs d’emploi peuvent demander à effectuer un bilan de compétences.

C’est une démarche payante lors de laquelle vous êtes accompagné.e par un consultant spécialisé pour faire le point sur votre carrière. En dressant la liste des compétences que vous avez acquises durant votre parcours professionnel, vous évaluez vos points de force ainsi que vos points d’amélioration. 

Que vous ayez un projet professionnel déjà établi ou que vous n’en soyez qu’au début de votre réflexion, vous pouvez bâtir (ou conforter) vos envies, en accord avec votre profil, mais aussi avec le marché du travail actuel.

Comment ça marche ?

A raison de deux à trois heures de travail par semaine, il faut compter entre deux et trois mois pour réaliser votre bilan de compétences (soit environ vingt heures). 

Il se déroule en plusieurs étapes :

  1. Définir l’origine de votre démarche et vos objectifs ;
  2. Répertorier vos compétences et aptitudes professionnelles, ainsi que vos motivations et intérêts personnels ;
  3. Vous avez la possibilité de passer des tests de personnalité pour étoffer votre profil ;
  4. A l’issue de cette investigation, le bilan de compétences doit vous permettre de bien analyser votre situation, puis de la valider afin de construire votre nouveau projet professionnel

Une synthèse écrite, assortie des moyens à mettre en œuvre pour la réalisation du projet professionnel (formation à suivre, méthodes, délais, etc.), vous est transmise. 

Un petit conseil ? Veillez à bien espacer vos séances de travail afin de vous laisser le temps de réfléchir et de prendre du recul.

N’oubliez pas que « patience est mère de toutes les vertus » alors, avant de vous décider à changer de trajectoire, ne vous précipitez pas ! Soyez précis et rigoureux dans la réalisation de votre bilan de compétences et attendez vos résultats avant de prendre une quelconque décision. 

Quels sont les avantages ?

Si vous vous interrogez sur votre carrière, si vous avez le sentiment de ne plus être à votre place dans votre job ou si vous avez l’impression de vous ennuyer dans votre travail, voici quelques avantages qui devraient vous convaincre de sauter le pas du bilan de compétences

  • Prendre du recul sur votre situation professionnelle peut débloquer votre situation;
  • Réfléchir à vos envies et à votre avenir vous permettra de vous sentir mieux;
  • Apprendre à vous connaître vous rendra confiant et, de fait, vous serez plus productif dans votre nouvelle trajectoire professionnelle; 
  • S’écouter afin de découvrir de nouveaux centres d’intérêts personnels, motivations ou aspirations professionnelles; 
  • Agir pour ne plus subir le cours des événements. Désormais, vous êtes maître de votre destin;
  • S’épanouir personnellement et professionnellement pour un meilleur équilibre de vie;
  • Vous avez la possibilité d’utiliser votre compte CPF pour réaliser un bilan de compétences.

A noter : si vous êtes en poste, il vous faudra l’accord de votre employeur pour réaliser votre bilan de compétences durant vos heures de travail (et ce sans perte de rémunération). Si vous décidez de le passer en dehors de votre temps de travail, vous n’êtes pas tenu.es d’en informer votre employeur.

3. La formation professionnelle

Une fois votre décision prise et votre bilan de compétences effectué, pour réussir votre transition, vous pourrez passer par une période de formation professionnelle.

Selon le Code du travail, c’est une « obligation nationale qui vise à permettre à chaque personne, indépendamment de son statut, d’acquérir et d’actualiser des connaissances et des compétences favorisant son évolution professionnelle, ainsi que de progresser d’au moins un niveau de qualification au cours de sa vie professionnelle. »

C’est donc un droit pour tous les actifs : salariés, indépendants, chefs d’entreprise ou pour les demandeurs d’emploi. En effet, il est nécessaire de vous former tout au long de votre vie et de rester en veille sur le marché des métiers et des compétences pour rester efficient professionnellement. 

En 2021, la digitalisation impacte grandement nos habitudes en ce domaine. Grâce aux nouveaux outils numériques, les salariés peuvent avoir plus de flexibilité, d’efficacité et de personnalisation dans leur formation professionnelle. En effet, les formations à distance, e-learning, forum, documentation, quizz, etc. permettent aux salariés de mieux répartir leurs sessions de formation dans leur agenda, selon leurs besoins et leurs disponibilités. 

En synthèse, que ce soit pour :

  • Effectuer une mise à niveau de vos compétences, 
  • Évoluer au sein de votre entreprise, 
  • Vous spécialiser dans un secteur, 
  • Vous former pour développer votre employabilité 
  • Ou effectuer une reconversion professionnelle,

Perfectionner vos connaissances tout en étant autonome n’a jamais été aussi facile !

Toutes les démarches peuvent être effectuées sur MonCompteFormation.

4. Calcul du DIF – il est encore temps d’y penser !

Le concept 

Avant 2015, dans le cadre du droit individuel à la formation (DIF), les salariés pouvaient cumuler jusqu’à 20 heures de formation par an sur une période de 6 ans, sans jamais excéder 120 heures. Le calcul du droit au DIF obéissait à des règles particulières qui tenaient compte de la nature du contrat (CDI ou CDD) et de la durée contractuelle du contrat de travail (temps partiel ou temps complet). A compter de la 7e année et au-delà, tant que le salarié n’utilisait pas son DIF, il conservait le quota acquis.

Il est désormais remplacé par le compte personnel de formation (CPF) qui évolue chaque année et tend à simplifier les démarches pour permettre aux professionnels d’affuter leurs compétences, d’en apprendre de nouvelles, voire de se réorienter.

Etiez-vous salarié.e avant le 31 décembre 2014 ? 

Dans ce cas, vous disposez peut-être encore de droits DIF ! Pour utiliser les heures acquises au titre de l’ancien DIF, celles-ci devaient être transférées sur le CPF avant le 31 décembre 2020. Cette échéance a été reportée au 30 juin 2021

Comment reporter vos droits DIF sur votre CPF ?

Etape 1 : Prenez connaissance de votre solde d’heures DIF

Vous trouverez cette information sur :

  • Votre bulletin de salaire de décembre 2014 ou janvier 2015
  • Une attestation de droits au DIF (à demander à votre employeur s’il ne vous l’a pas déjà fournie)
  • Votre dernier certificat de travail

Étape 2 : Reportez ce solde directement en ligne sur votre CPF

Vous devrez alors vous connecter à votre espace personnel sur MonCompteFormation.

  • Saisissez votre solde d’heures DIF, arrondi à l’unité supérieure. Par exemple, pour 35,2 h, indiquez 36 h.
  • Téléchargez le justificatif indiquant votre solde d’heures DIF (bulletin de salaire, attestation ou certificat de travail).
  • Enregistrez votre solde.

Votre compte CPF sera automatiquement crédité.

5. La Validation des Acquis (VAE)

La VAE vous permet d’obtenir une certification grâce à votre expérience. 

Le concept

Toute personne, quels que soient son âge, sa nationalité, son statut et son niveau de formation, qui justifie d’au moins un an d’expérience professionnelle, peut, sous conditions, bénéficier de la validation des acquis de l’expérience (VAE). Afin d’évoluer professionnellement, son expérience lui permet d’obtenir une certification. Cela peut être un diplôme, un titre ou un certificat de qualification professionnelle enregistré au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP).

A quoi ça sert ?

Cela peut vous servir à mettre en cohérence votre certification avec votre niveau de responsabilité, à faire reconnaître vos compétences, obtenir un niveau de qualification permettant d’accéder à une formation d’un niveau supérieur ou de vous inscrire à un concours, de changer d’emploi, d’évoluer professionnellement, etc

La certification obtenue par la VAE a la même valeur que celle obtenue par la voie de la formation.

Comment en bénéficier ?

Pour en bénéficier, il faut pouvoir justifier d’au moins 1 an d’expérience à temps complet soit 1607 heures (continu ou non), soit :

  • D’activité professionnelle salariée ou non,
  • De bénévolat ou de volontariat,
  • D’inscription sur la liste des sportifs de haut niveau,
  • De responsabilités syndicales,
  • De mandat électoral local ou d’une fonction élective locale,
  • De participation à des activités d’économie solidaire, si vous êtes accueilli.e et accompagné.e par un organisme assurant l’accueil et l’hébergement de personnes en difficultés.

L’expérience doit être en rapport avec la certification visée. 

Concrètement, comment ça se passe ?

Vous pouvez demander un accompagnement, soit pour constituer votre dossier de validation, soit pour l’entretien avec le jury. Si vos acquis correspondent aux compétences, aptitudes et connaissances exigées pour obtenir la certification visée, le jury prendra une décision de validation totale et vous attribuera le diplôme ou la certification. 

Vous pouvez aussi, selon certaines conditions, demander à votre employeur un congé pour préparer la validation des acquis de l’expérience (VAE) ou pour participer aux épreuves de validation. Ce congé est considéré comme une période de travail pour le calcul de votre ancienneté dans l’entreprise et de vos droits aux congés payés. Votre congé de VAE ne peut être déduit de vos droits aux congés payés mais vous ne pourrez demander un nouveau congé pour VAE auprès du même employeur qu’après un délai d’un an.

L’engagement en VAE nécessite une planification rigoureuse. Sur le site officiel du gouvernement, un tableau est mis à votre disposition afin de vous aider dans les différentes étapes et les moments clés de votre démarche.

6. Le tout, dans un état d’esprit positif !

Charlie Chaplin disait : « l’obstination est le chemin de la réussite ». Comme souvent, en période de transition professionnelle, il faut savoir faire preuve de discipline et de persévérance pour atteindre son but

Mon objectif avec cet article, c’est de vous sensibiliser à l’importance de faire le point sur vos aspirations, vos envies, vos rêves, à valoriser vos talents, concrétiser les possibles et mettre en place des plans d’actions ambitieux, réalistes et pertinents pour avancer dans votre carrière. 

Aussi, il était nécessaire à mes yeux d’y ajouter 7 astuces de psychologie positive pour vous accompagner au mieux :

  1. Tenez le cap de vos objectifs : réfléchissez, définissez vos objectifs SMART +E et tenez-vous y ! 
  2. Prenez votre temps, et prenez du recul : faites une tâche à la fois et avancez à petit pas. En restant concentré.e sur ce que vous avez à faire, vous serez en capacité d’accroître significativement votre productivité et votre satisfaction personnelle !
  3. Mettez en place des rituels : la routine est une force. Pour ne pas vous laisser dépasser par l’ampleur de votre mission, organisez-vous. C’est en répétant une somme de petites habitudes que vous trouverez l’énergie nécessaire pour avancer. 
  4. Donnez du sens à ce que vous faites : on entame souvent une transition professionnelle pour redonner du sens à sa vie professionnelle. Alors listez ce qui vous fait vibrer, ce qui est en accord avec vos valeurs et tâchez de les garder bien en tête pour être au top ! Et si vous me le demandez gentiment via mon blog, je vous offre le premier des 27 modules du programme Womaccelerator : Êtes-vous aligné.e avec vos rêves professionnels ?
  5. Apprenez à gérer vos émotions : lorsque vous vous sentez dépassé.e, faites une pause, identifiez le problème et demandez-vous ce que vous pourriez faire pour le résoudre. La solution est indubitablement en vous. 
  6. Sachez vous entourer  de personnes bienveillantes qui vous soutiendront dans votre entreprise : cela vous permettra d’être bien armé.e pour surmonter les difficultés qui se présenteront à vous car, comme le disait Winston Churchill : « le succès c’est d’aller d’échec en échec sans perdre son enthousiasme. »
  7. Soyez fier.e de vous : il faut être courageux pour entreprendre une évolution professionnelle. Alors relevez la tête, tenez-vous droit.e et souriez. Il ne tient qu’à vous d’aborder l’avenir avec sérénité, énergie et enthousiasme. 

Si vous êtes arrivé.é jusqu’ici, cela signifie que vous êtes prêt à vous lancer pour donner un nouveau sens et une nouvelle hauteur à vos activités professionnelles. Bravo, c’est un excellent début ! Maintenant que vous avez décidé d’accélérer votre réussite professionnelle, sachez que le programme Womaccelerator, conçu avec 27 modules + 1 accompagnement inédit, pourrait vous faire gagner 10 ans. 

Et, pour finir, je laisserais le mot de fin à un homme de talent, Coluche : « les portes de l’avenir sont ouvertes à ceux qui savent les pousser ». A bon entendeur, salut !

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